Bivouac de Devis Gerard, depuis la Lillaz
Accès
d'Aoste Ouest, tourner à droite et prendre la route régionale pour la vallée de Cogne. Traverser le village d'Aymavilles et, après 1,3 kilomètre, prendre la deuxième sortie au rond-point. Monter la route régionale sur 19 kilomètres, en passant par les villages de Vieyes, Epinel et Crétaz, jusqu'à un rond-point : prendre la deuxième sortie, en suivant les indications pour Lillaz. Continuez sur la route communale pendant environ un kilomètre jusqu'à un autre rond-point ; continuez tout droit pendant encore 1,8 kilomètre jusqu'au grand parking gratuit  ; 🅿️ à Lillaz.[0h32'] - [24,0km]
Comment s'y rendre avec GMAPS
Comment s'y rendre avec Apple Maps
Les indications fournies ont été soigneusement vérifiées au moment de l'étude de l'itinéraire. Toutefois, il est vivement recommandé de vérifier les éventuelles modifications intervenues depuis lors, notamment en ce qui concerne l'itinéraire vers le point de départ. Avant d'entreprendre votre voyage, il est conseillé de consulter des outils de navigation récents pour obtenir des indications précises et actualisées. Nous recommandons l'utilisation d'applications de navigation par satellite, telles que Google Maps ou Apple Maps, afin de garantir l'itinéraire le plus précis et le plus sûr.
L'utilisation d'applications de navigation par satellite est fortement recommandée.
Introduction
Cette longue randonnée (un peu moins de 20 km) se déroule dans le parc national du Grand Paradis et plus précisément dans la vallée sauvage des Bardoney, au-dessus de Lillaz, et mène à un bivouac panoramique en bois et en tôle situé sur la droite orographique, au pied de la crête rocheuse de Punta Lavina. Elle mène à un bivouac panoramique en bois et en tôle situé sur la droite orographique de la vallée, au pied de la crête rocheuse de Punta Lavina. La nouvelle construction, qui n'a pas encore été inaugurée et dont l'approvisionnement en eau n'est pas encore achevé, est toujours ouverte et dispose de huit lits sur des planches et est équipée de couvertures et de matelas. L'ascension se fait sur un sentier facile jusqu'à la déviation juste avant la bifurcation pour le Colle dell'Arolla, alors qu'ensuite le parcours se fait sur un terrain accidenté et de grands éboulis où il y a très peu de points de repère et de balises : pour ces mêmes raisons, il est préférable de ne faire l'excursion qu'avec une bonne visibilité. Comme il est principalement orienté au nord, il faut également faire attention à la présence éventuelle de verglas sur les pentes abruptes qui mènent au-dessus des remparts et sur les éboulis. Sa longueur, son dénivelé et la configuration du terrain dans la partie supérieure, combinés à une bonne orientation, le recommandent à des randonneurs expérimentés et bien entraînés.
La randonnée est un parcours qui s'adresse à tous.
Description
Depuis le parking, on prend à gauche la route qui part du fond du parking et on continue pendant quelques dizaines de mètres jusqu'à des poteaux sur la gauche qui sont le début d'un sentier qui monte en escalier ; une fois le sentier emprunté, on monte résolument en passant quelques bifurcations bien indiquées par les poteaux, puis, après avoir passé la route, on se dirige vers un rempart rocheux que l'on monte en passant par une conduite d'eau. Une fois le rempart contourné, on passe devant une petite chapelle (1838 m) à partir de laquelle on perd quelques mètres de hauteur et on atteint un pâturage où, à son début, se trouve un embranchement que l'on garde à droite pour le traverser ; on passe ensuite devant les cabanes des Goilles dessus et, en tournant légèrement à gauche, on descend un court faux niveau pour atteindre la cabane des Goilles desot (1847 m) qui se trouve à proximité. On le dépasse et on s'approche du ruisseau que l'on franchit sur un pont, après quoi on monte légèrement en longeant une pente herbeuse au bout de laquelle on traverse un sentier muletier et on s'engage sur le sentier de la forêt (1871 m). La pente augmente un peu en remontant dans le bois, avec des virages en épingle à cheveux alternant avec de courtes traversées qui permettent de monter et, après une série de virages serrés, on passe un court tronçon protégé par une main courante ; après avoir remonté un ravin herbeux, on tourne à nouveau à droite, en arrivant à une courte descente au bout de laquelle on trouve une bifurcation signalée par des panneaux (2154 m), à partir de laquelle on prend le sentier qui continue sur la droite. Le chemin s'élève légèrement dans la vallée puis, après quelques beaux virages sur une surface pavée, il monte plus franchement, s'approchant de la gorge du torrent où il s'aplanit légèrement pour atteindre une autre bifurcation (2227 m). En continuant sur la gauche, il y a quelques petites montées et descentes entre de petites collines herbeuses et, au-delà d'une colline un peu plus élevée, on arrive à l'alpage de Bardoney (2240 m) d'où s'ouvre, face à nous, la grande vallée du même nom. On s'engage dans la vallée avec le sentier qui continue presque à plat entre les pierres et les pâturages et, après quelques légères montées et quelques virages en épingle à cheveux, on arrive à l'altitude de 2347 m (cairn) où il convient de dévier à gauche, en quittant la piste ; on s'approche du ruisseau en indiquant un grand rocher en pente légèrement rougeâtre où, devant lui, il y a un gué commode sur de grosses pierres. On remonte la pente, en se déplaçant vers la gauche, et on se dirige vers les escarpements herbeux entre une petite cascade, à gauche, et un ruisseau presque à sec, à droite ; arrivé à la base de ce dernier, on monte sur la confortable corniche de gauche, puis presque immédiatement on s'élève péniblement entre les mottes et les pierres mouvantes, en traversant vers la droite et en gagnant ainsi le sommet du rempart. De là, on poursuit un peu plus loin sur une basse côte de rochers et d'herbes, en essayant d'apercevoir le bivouac désormais visible sur la droite à la base de l'arête rocheuse, et lorsqu'on atteint une altitude d'environ 2610 m, il vaut la peine de se tourner vers lui, en commençant à marcher le long d'un large talus d'éboulis. En la traversant en montée, mais en restant sous les moraines sur la gauche, on en traverse une première partie et on arrive à son épaule à partir de laquelle on continue à la traverser à nouveau avec une longue montée en diagonale en visant un évident ravin d'éboulis et de petits cailloux ; après avoir également gravi laborieusement ce court tronçon, on arrive au bivouac panoramique.
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